Mammographie : Les risques graves et très graves passés sous silence par Sylvie Simon | ©Mamie Sha Blog
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Mammographie :
Les risques graves et très graves passés sous silence par Sylvie Simon
Source: http://www.sylviesimonrevelations.com/article-mammographie-les-risques-graves-et-tres-graves-passes-sous-silence-65582490.html
Relayé par ©Mamie Sha Blog
Mon article paru dans NEXUS N° 71 - - - de novembre-décembre 2010
Le « dépistage » a tout va est devenu à la mode. Tout comportement de notre corps doit être soumis à de fréquentes et régulières vérifications : surveillance de la tension, de la prostate, du taux de cholestérol, du diabète et bien d’autres pathologies qui nous menacent sournoisement. Il existe ainsi des campagnes-promotions de dépistage qui font la fortune des laboratoires et les belles heures des médias qui n’éprouvent aucune gêne à nous rappeler plusieurs fois par jour qu’il est urgent de faire vérifier notre corps comme nous le faisons pour nos moteurs de voitures.
Le
Dr Henri Pradal, pharmaco-toxicologue, avait fort bien résumé la
situation, il y a trente ans. Pour lui, les « dictateurs du scalpel et
du radium » ont su entretenir pendant des décennies une propagande
mensongère sur l’efficacité de leur pratique en s’appuyant sur
l’argument non vérifiable qu’un diagnostic précoce donne au cancéreux
toutes les chances de guérir. Il affirmait :
«Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.»
D’autres médecins partagent ce point de vue.
«Il est facile de démontrer que la radiographie des seins de toute une population féminine particulièrement exposée au cancer provoque davantage de processus cancéreux qu’elle n’en dépiste.»
D’autres médecins partagent ce point de vue.
«Le champ du cancer aux États-Unis est délimité par un monopole médical
qui assure un flot constant de bénéfices pour les compagnies
pharmaceutiques, les firmes de technologie médicale, les instituts de
recherches et les Agences gouvernementales telles que la FDA, le
National Cancer Institute, et l’American Cancer Society.»
Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l’Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l’Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.
Cette déclaration vient de deux cancérologues réputés, le Dr John Diamond, membre du Royal Australian and New Zealand College of Psychiatry et ancien Président de l’Académie Internationale de Médecine Préventive, et le Dr Lee Cowden, de l’Université St Louis du Missouri. Tous deux sont bien placés pour savoir de quoi ils parlent.
Une étude, publiée le 20 octobre 1993 dans le Journal of National Cancer Institute, montre une augmentation très nette du cancer du sein après les traitements par rayons de certaines maladies bénignes du sein chez les femmes âgées de plus de 40 ans au moment des premiers traitements.
Déjà,
en 1995, le Dr Samuel Epstein, président de la Coalition pour la
Prévention du Cancer, Médaille d’Or de l’Académie de Médecine Albert
Schweitzer, auteur de plusieurs centaines d’articles scientifiques sur
le sujet, profitait d’une journée nationale de mammographie organisée le
18 octobre aux États-Unis, pour dénoncer les dangers de cette pratique
qui, pour lui, n’a jamais fait la preuve de son utilité.
Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d’autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n’est pas un vrai cancer, mais qu’en revanche, un cancer sur quatre n’est pas détecté.
Il a insisté sur le fait que lorsque le cancer du sein est ainsi détecté, il existe depuis au moins huit ans et a donc déjà touché les ganglions lymphatiques ou d’autres organes, particulièrement chez les femmes jeunes. Dans son important ouvrage The Politics Of Cancer revisited, paru en 1998 mais non traduit en français, il critique très largement le lobby du cancer et soutient que chez les femmes en pré-ménopause, un cancer détecté sur quatre n’est pas un vrai cancer, mais qu’en revanche, un cancer sur quatre n’est pas détecté.
Les
années passées depuis cette époque n’ont pas changé son opinion et,
douze ans plus tard, il confirmait ces déclarations dans un article
intitulé «Les dangers cachés des mammographies chez les femmes en
pré-ménopause».
«Quoique l’on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d’attraper un cancer.»
«Quoique l’on vous dise, refusez les mammographies de routine, particulièrement si vous êtes en pré-ménopause. Les rayons augment vos chances d’attraper un cancer.»
En
effet, la pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein
pendant une période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour
chaque sein, ce qui correspond à la très forte radiation subie par les
femmes qui se trouvaient à un kilomètre et demi de l’endroit où furent
larguées les bombes atomiques sur le Japon.
Pour
Epstein, ajoutées à une angoisse inutile, les mammographies répétées
augmentent les risques de cancer. « Des études récentes basées sur les
dix années précédentes indiquent une augmentation très nette des cancers
quelques années après le début de ces examens fréquents, ce qui
confirme la grande sensibilité des seins en pré-ménopause et l’effet
carcinogène des radiations ».
Ces deux spécialistes du cancer ont réitéré leur avertissement dans un article très détaillé et édité par le prestigieux International Journal of Services en 2001 (31(3) : 605-615), intitulé « Les dangers et la non-fiabilité des Mammographies », avec le concours de Barbara Seaman, fondatrice et directrice du Women's breast cancer movement.
L’article explique que la plupart des cancers ont été détectés par les malades eux-mêmes et que rien ne vaut la palpation mensuelle de leurs seins par les sujets à risque, «une pratique alternative efficace et sans danger».
Le
Pr Epstein est loin d’être le seul à critiquer cette habitude et le NCI
(National Cancer Institute) a publié des statistiques qui montrent que
chez les femmes de moins de 35 ans, les mammographies peuvent provoquer
75 cancers pour 15 cancers correctement diagnostiqués.
Après
avoir passé en revue toute la littérature mondiale disponible sur le
sujet, les docteurs Wright et Muller, de l'Université de Colombie
Britannique, ont recommandé l'annulation du financement public des
mammographies parce que le « bénéfice obtenu est minime et le mal causé
est important. » D’après le Lancet du 1er juillet 1995, les études les plus complètes ne montrent pas de taux de survie accru grâce aux mammographies de routine.
Le
NIH (National Institute of Health) estime que ces examens occultent
10 % des tumeurs malignes chez les femmes de plus de 50 ans. À son tour,
une étude suédoise menée sur 60 000 femmes a démontré que 70 % des
tumeurs détectées par mammographie n’étaient pas des tumeurs. Or, outre
le stress émotionnel causé par ces diagnostics erronés, ces femmes ont
aussi subi des biopsies toujours dangereuses.
Quant au Dr James Howenstine, médecin américain qui a 34 ans de pratique privée et hospitalière, il signale que « des campagnes massives encouragent les femmes à avoir une mammographie chaque année. Ce rituel annuel génère des résultats faux positifs et faux négatifs qui mènent à des opérations inutiles et une considérable anxiété chez les femmes incorrectement diagnostiquées. »
Enfin,
le 8 janvier 2000, The Lancet publiait une étude danoise qui réduisait à
néant l’espoir des cancérologues qui croyaient alors qu’en dépistant
plus précocement les cancers du sein par mammographie, on réussirait à
faire baisser leur incidence et leur mortalité. Le journal concluait
qu’en termes de mortalité, une politique de dépistage du cancer du sein
« ne serait pas justifiée ».
Une
étude publiée en 2005 par le New England Journal of Medicine, confirme
que 30 % des cancers chez les femmes de 40 ans ne sont pas détectés par
les mammographies.
Et
en mars 2006, le mensuel La Recherche signalait à son tour, dans son
numéro 395, que « la mortalité par cancer du sein a très peu diminué
depuis 20 ans », alors que « les cas diagnostiqués, eux, explosent ». Le
journal ajoutait que certains experts dénonçaient les effets pervers du
dépistage qui « conduirait à détecter et à traiter des tumeurs
mammaires qui n’auraient pas mis la vie de la patiente en danger ».
Le
Dr Ken Walker, gynécologue à Toronto, mais aussi le plus célèbre des
journalistes médicaux canadiens sous le pseudonyme de « Dr
Gifford-Jones », partage son avis:
« Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d’un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ».
Ce médecin diplômé d’Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu’une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l’organisme. Cela n’est pas vraiment un diagnostic précoce ».
« Les femmes de 40 à 49 ans qui subissent régulièrement des mammographies, sont deux fois plus susceptibles de mourir d’un cancer trois ans plus tard que celles qui gardent leurs seins sous leurs chemisiers ».
Ce médecin diplômé d’Harvard estime lui aussi que les diagnostics précoces constituent un mensonge car « il faut huit ans pour qu’une tumeur soit assez importante pour être décelée, ce qui laisse le temps aux cellules cancéreuses de se propager dans l’organisme. Cela n’est pas vraiment un diagnostic précoce ».
À ses yeux, des milliers de femmes servent de cobayes depuis de nombreuses années, pendant que la Médecine cherche de tous côtés les causes du cancer, des bactéries aux gènes, sans penser une seule seconde que l’un des principaux responsables est l’industrie du cancer elle-même.
Ces mammographies exposent les tissus sensibles du sein à des radiations dangereuses, alors que les spécialistes estiment qu’il n’existe pas de « dose acceptable » de radiation. Pour le Pr Anthony Miller, de l’Institut National du Cancer de Toronto, l’ADN du sein est plus vulnérable aux doses réduites de radiation que les tissus thyroïdiens ou la moelle des os.
D’après
Diana Hunt, diplômé du centre médical d’UCLA, spécialiste des rayons X,
« les radiations reçues par le sein au cours d’une seule mammographie
correspondent à 11,9 fois la dose absorbée annuellement par le corps
entier ».
La
pratique annuelle de deux mammographies sur chaque sein pendant une
période de dix ans provoque une exposition à 5 rads pour chaque sein, En
conséquence, si une femme commence à subir des mammographies annuelles
dès l’âge de 55 ans, à 75 ans elle aura reçu 20 rads. Évidemment, ce
pourcentage est proportionnel à l’âge du début des mammographies, ce qui
est effarant à l’heure actuelle où elles sont pratiquées de plus en
plus tôt. En comparaison, les femmes qui ont survécu aux bombardements
de Hiroshima ou Nagasaki ont absorbé 35 rads.
Et
plus les cellules du sein sont jeunes, plus leur ADN est endommagé par
les radiations. En outre, ce risque est multiplié par 4 chez les femmes
porteuses du gène A-T, soit environ 1,5 à 2 % des sujets. Le pourcentage
peut sembler minime, mais on estime qu’aux États-Unis environ 10 000
cancers par an sont dus aux mammographies chez les femmes porteuses de
ce gène. Une seule mammographie augmente de 4 à 6 fois leur risque de
cancer.
Ces recommandations ont été confirmées par la Task Force (groupe de travail) du ministère de la santé des États-Unis qui recommande de retarder les mammographies jusqu’à l’âge de 50 ans, lorsque la poitrine est moins sensible aux radiations. La coalition nationale du Cancer du sein s’est jointe à ces conseils qui s’appuient sur l’augmentation de ce cancer de 20 % depuis 1975 malgré la multitude de mammographies et les milliards dépensés par les assurances.
Pour
les jeunes femmes, les chiffres sont encore plus inquiétants, car une
étude du Canadian National Breast Cancer, qui date de 1992, a démontré
une augmentation de 52 % de la mortalité par cancer du sein chez les
jeunes femmes qui subissent des mammographies. En outre, les femmes
enceintes exposées aux radiations mettent leur fœtus en danger avec des
risques de leucémies ou de malformations, et les enfants exposés aux
radiations peuvent à leur tour développer un cancer du sein à l’âge
adulte. Ajoutons à ce terrifiant constat que depuis l’introduction des
mammographies, l’incidence d’un certain carcinome du sein aurait
augmenté de 328 %.
Le Dr William John Gofman, professeur émérite de biologie moléculaire et cellulaire à Berkeley et chargé de cours à l’école de médecine de l’université de Californie à San Francisco, spécialiste des effets biologiques des rayons X et des dangers nucléaires, lauréat du prix Nobel, estimait que 75 % des nouveaux cas de cancer étaient provoqués par les irradiations médicales comme les rayons X, scanners, mammographies, tomographies et fluoroscopies. Il leur imputait également la responsabilité de nombreux cas de maladies coronariennes.
(Alertes et fausses alertes), Markus Grill signale que « les cabinets de radiologie reçoivent les citadines, alors que des "Mammobil" se rendent à domicile dans les campagnes. 54 unités mobiles sillonnent actuellement l’Allemagne, l’une d’elles appartient à un groupement de radiologues.
Coût de l’investissement : 400 000 euros, dont 200 000 pour l’appareil de radiographie. Si chaque jour ouvrable, soit 250 jours par an) 80 femmes se font examiner au tarif de 57 euros remboursés par les caisses, l’équipement spécialisé génère un chiffre d’affaires de plus d’un million d’euros par an. L’intérêt économique est évident pour les radiologues. »
Et il pose la question qui dérange : « Mais l’intérêt pour la santé publique est-il équivalent ? »
Le Spiegel conclut : « On estime que chaque médecin devra examiner en moyenne par trimestre 225 individus en bonne santé et gagnera 21 euros pour les 20 minutes passés (75 minutes par jour). Pour le suivi classique d’un patient, le médecin reçoit 13 euros par mois, pour un examen approfondi 30 euros. Les dépistages sont par conséquent motivés surtout par l’intérêt financier. »
Telle
est également la conclusion de Peter Sawicki, Directeur de l’IQWiG
(Institut allemand de la qualité et l’efficacité du système de santé),
qui pense que les études « sérieuses » répondent aux critères d’une
médecine qui prend en compte les éléments scientifiques probants et non
les simples « avis d’experts ».
« Pour l’individu lambda, la probabilité d’échapper au cancer grâce aux dépistages se situe entre 0,05 % et 0,1 %. Autrement dit, si 1 000 à 2 000 personnes participent sur plusieurs années aux programmes de dépistage, seule l’une d’entre elles sera sauvée. »
Ce comportement, rare actuellement chez la plupart des médecins, lui a coûté sa démission forcée de l’Institut. Cela n’a rien de surprenant car l’industrie pharmaceutique allemande s’est plainte à maintes reprises du comportement de l’Institut et particulièrement de celui de son directeur qui les a souvent empêchés de mettre certains médicaments sur le marché.
En outre, Peter Sawicki s’évertuait à réclamer aux laboratoires les études non publiées, ce qui n’est pas « médicalement correct ».
En
Allemagne, on pratique en moyenne cinq fois plus de frottis que dans le
reste de l’Europe, alors que les femmes allemandes meurent de ce cancer
beaucoup plus souvent que dans d’autres pays.
Quant à la ministre de la santé, Ulla Schmidt, elle est une fervente du dépistage au point que, malgré de nombreuses protestations, elle a inclus dans la loi de santé publique le paragraphe 62 pénalisant financièrement tous les malades d’un cancer qui ne se sont pas soumis aux dépistages recommandés.
Tout
ceci nous prouve bien que la réalité médicale n’a rien à voir avec la
propagande organisée par les laboratoires et si bien relayée par les
médias.
En France, les « contrats d'amélioration des pratiques individuelles » (Capi) sont souscrits de manière volontaire et individuelle par les praticiens, pour une durée de trois ans. Les médecins signataires s'engagent à atteindre 16 objectifs de santé publique dans trois domaines : la prévention (par exemple améliorer les taux de patients âgés vaccinés contre la grippe et de dépistages du cancer du sein), un meilleur suivi des pathologies chroniques comme le diabète ou l'hypertension, et l'optimisation des prescriptions de médicaments. Dix mille praticiens, soit plus d'un sur six, ont ainsi signé un contrat avec l'Assurance-maladie.
Sous
la plume d’Olivier Auguste, Le Figaro du 25 septembre 2009 nous
prévenait :
« Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »
« Les volontaires recevront jusqu'à 7 euros par an et par patient s'ils atteignent certains objectifs, comme le nombre de patients âgés vaccinés ou de patientes ayant effectué une mammographie. »
Les
syndicats médicaux sont hostiles à cette relation directe entre médecin
et Sécurité Sociale, mais notre remarquable ministre Roselyne Bachelot
s’est réjouie du succès des Capi.
On
savait déjà que la recherche de rentabilité se retrouve partout, toute
profession confondue. On le savait pour la Police, la Gendarmerie, les
impôts et autres administrations, mais il est invraisemblable qu’un
médecin touche, en dehors de ses honoraires, une prime au rendement des
dépenses de santé. Et cela pour des examens qui, non seulement n’ont pas
fait la preuve de leur utilité, mais ont bel et bien fait la preuve de
leur nocivité.
Sylvie SIMON
"Tout
le monde devrait savoir que l’essentiel de la recherche sur le cancer
relève, dans une large mesure, de l’escroquerie et que les grandes
organisations de recherche sur le cancer négligent leur devoir envers
ceux qui les soutiennent".
Linus Pauling Prix Nobel de chimie 1954 et de Paix 1962
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